Ouverte côté rue: Les ardoises sont en carton peint ( carton utilisé pour les couvertures de livres) les briques en papier abrasif coloré à la peinture acrylique.
Le store corbeille est fait avec du fil de cuivre , la statuette dans la niche
( femme à la rose) est en un moulage.
Moulages des décorations de la façade. La grande enseigne est faite avec du miroir à découper, les lettrines et les roses sont un montage avec PSP imprimé sur papier vitrophanie, puis encadrement avec une baguette peinte à la peinture dorée.
Même procédé pour l'enseigne de rue et les noms des rues.
Même procédé pour l'enseigne de rue et les noms des rues.
Côté droit de la boutique d'angle . On peut voir le prolongement de l'appartement bien plus profond que la boutique elle-même.
Au-dessus dela porte du magasin, des lettres auto-collantes de 2 couleurs et sur le mur, l'affiche de cinéma du fim:La Môme devenue en anglais La Vie en Rose.
Les petits détails de la vitrine. Un peu de tout : vaisselle , des pichets, des cadres, des personnages en porcelaine....le tout posé devant une guirlande de roses avec dentelles et perles .
Sur la porte, l'affiche de l'exposition en cours au Musée la Poupée à Paris
"Maisons de poupées, l'Art de la miniature"
Portes ouvertes: la salle de bains et le magasin , côté gauche
La machine à laver est réalisée sur le modèle du livre de Pascale Garnier.
Pour le tambour, j'ai utilisé une très vieille et unique râpe qui servait pour les placer les rustines des roues de vélo! Son hublot est entouré d'un tambour à broder miniature trouvé dans un magasin de patchwork.
Une armoire relookée et remplie de linge.
Le côté gauche du magasin: les meubles sont complétement transformés. Au fond, un globe de mariée!Toutes mes maisons de poupées , en contiennent un. Là , il était facile à placer!
Portes ouvertes : le magasin et la chambre.
L'autre façade côte jardin. Peinture pierre colorée à l'acrylique, toit avec les mêmes ardoises.
Un petit oeil curieux par la porte de la cuisine.
La rue du chat qui pêche existe réellement à Paris( voir sa légende)
Le nom de cette rue, qui relie la place des Victoires à celle des Petits-Pères, témoigne de la mauvaise réputation qu'elle aura eu jusqu'à la fin du XVIIème siècle. Un plaisantin la rebaptisera du nom de Terray, ministre des Finances, en mars 1770 qui venait de lever un nouvel impôt.
La vie en rose....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire